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Politique, survol de l'actu, réflexions, histoire, religions, islam vus par un super senior.

Boubakeur nous fait encore son cinéma de musulman modéré...

Boubakeur nous fait encore son cinéma de musulman modéré...

Comme à sa désespérante habitude, le patron de la Grande Mosquée de Paris a lancé, entre deux loukoums et trois tasses de thé à la menthe, son appel à ses coreligionnaires lesquels, d’une manière tout aussi rituelle, ont déferlé par centaines de milliers dans les rues de nos villes, dans nos champs et même sur l’océan, pour crier leur « dégoût » de ce qui s’est passé à Marseille. En vérité, le silence de la « communauté » n’est que le sépulcre où nous risquons bien d’aller un jour nous réunir, nous tous qui laissons, sur ordre supérieur, la bête immonde aux soins pour le moins complaisants de sa famille. De sa seule, unique, solidaire et intangible famille. L’Islam.

https://www.ouest-france.fr/provence-alpes-cote-dazur/marseille-13000/attaque-marseille-dalil-boubakeur-appelle-les-musulmans-reagir-5287138

À l’heure où montent, de toute la France, des voix de plus en plus nombreuses qui dénoncent, derrière le couteau des tueurs, l’influence mortifère d’une religion dont aucun des mots assassins dont elle s’encombre depuis quatorze siècles ne peut être supprimé, amendé, voire remplacé, le Frère Dalil nous sort son couplet du Vendredi matin, son appel à la paix, à la tolérance et à l’amour. Trois vertus auxquelles les deux pauvres suppliciées de la gare Saint-Charles avaient en principe droit sous la protection de leurs gouvernants.

On sait ce qu’il est advenu de leurs espérances. On a vu la réaction des dénommés gouvernants, ces serpillères castrées qui pavent le chemin de notre nation vers la fosse commune, on a entendu leurs misérables mots, mesuré leur impuissance que la routine du pire consenti exprime soit par l’agressivité, soit par le mépris, soit par la désinvolture à peine attristée, comme cette fois. Terrible constat mais si prévisible quant à lui.

Revenons à nos moutons-égorgeurs. Il est, entre les mots de Boubakeur, un aveu formel qui constitue un motif de croire à une possible embellie. « Les musulmans se doivent de réagir », nous assène-t-il comme une évidence. Évidence à laquelle il n’avait donc manifestement pas pensé jusqu’ici ou alors, de loin, comme ça, un peu par hasard ! Vous avez dit bizarre, comme c’est bizarre. Avec ses airs de gros matou repu un matin de Ramadan, il a, à mon avis, caressé longuement nos édiles dans le sens du poil pour leur cacher la sinistre réalité de sa communauté, laquelle tient en deux mots formellement guerriers : conquête et domination.

Le reste n’étant, comme pour le combat naval, que brumes artificielles, leurres de diversion et prise de contrôle des codes de l’adversaire pour le torpiller de l’intérieur.

Sacré Dalil ! On le croyait garé des voitures, mis à l’écart par les vrais stratèges de la subversion, et le voici, en mission, qui surgit à nouveau. Cet homme est pour de bon une balise sur nos chemins de guerre avec aujourd’hui une « modération » qui lui pète à la figure telle un cocktail Molotov mal méché. Dans la mesure où il avoue publiquement que les Musulmans-en-France sont en fait les complices peureux et muets de leurs « déséquilibrés-maison », puisque, en leur donnant l’ordre tactique de collaborer un tant soit peu avec l’objet principal de leur haine, c’est-à-dire nous, il se met en position d’attente, étire ses lignes et ouvre la possibilité d’une contre-offensive façon Marne 1914, plantons un coin dans son système et élargissons la brèche. L’occasion en est belle.

De plus en plus nombreux, et venant d’horizons fort divers, sont ceux qui nous y aident désormais. Au sud, quelque chose de nouveau.

Jean Sobieski

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