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philippeboehler.over-blog.com

Politique, survol de l'actu, réflexions, histoire, religions, islam vus par un super senior.

Le plus jeune dirigeant du monde élu en Autriche...

Source ICI
"Kurz, un conservateur anti-immigré et eurosceptique, a déclaré: «Je voudrais bien sûr former un gouvernement stable. Si cela ne peut être fait, il y a d’autres options », ajoutant qu’il prévoyait de consulter toutes les parties, mais attendrait d’abord le décompte des bulletins postaux qui commence lundi.
Kurz veut réduire la bureaucratie autrichienne et a répété à maintes reprises au cours de sa campagne que le peuple autrichien en avait marre de la «politique mondiale du nouvel ordre mondial par les élites de l’UE» – dont il dit qu’il se terminera lorsqu’il sera élu.
En plus de son engagement sur les paiements aux migrants, Kurz veut réduire la bureaucratie autrichienne et garder l’UE à l’écart des affaires nationales.
À 31 ans, Kurz est jeune, même selon les critères du récent mouvement de jeunesse européen, qui a vu Macron entrer à l’Elysée à l’âge de 39 ans et Christian Lindner, âgé de 38 ans, a mené les Libéraux démocrates (FDP) au Bundestag.
Kurz et Lindner ont montré que les jeunes nouveaux visages peuvent injecter du dynamisme dans les vieux partis d’establishment qui ont perdu leur chemin avec les électeurs.
Kurz a rebaptisé l’OVP en tant que New People’s Party et a changé ses couleurs du noir au turquoise.
Lindner a utilisé des affiches de campagne en noir et blanc à la mode qui lui ont montré son smartphone pour revitaliser l’image du FDP.
Macron, qui a formé son propre mouvement politique, a pu se peindre comme un outsider rebelle malgré avoir servi pendant quatre ans sous l’échec socialiste français François Hollande.
Et en Italie, où les deux meilleurs candidats à l’élection de l’an prochain seront Luigi Di Maio, le nouveau leader du mouvement 5 étoiles et ancien premier ministre, Matteo Renzi, âgé de 31 ans et âgé de 42 ans. nouvelles normes.
En prenant une ligne dure sur l’immigration qui a laissé peu de lumière entre lui et le Parti de la liberté d’extrême droite (FPO), le ministre des Affaires étrangères Kurz a réussi à propulser son Parti populaire à la première place et à retirer du soutien d’un FPO par la crise migratoire de l’Europe.
Les deux partis ont augmenté leur part du vote des dernières élections législatives de 2013, marquant un virage vers la droite. Les sociaux-démocrates du Chancelier Christian Kern étaient dans une course serrée avec le FPO pour la deuxième place.
Aujourd’hui, Kurz a été photographié dans la capitale autrichienne Vienne aux côtés de sa petite amie Susanne Thier – un employé du ministère des Finances qu’il a rencontré à l’âge de 18 ans.
Sans révéler de quelle manière il s’appuyait sur des pourparlers de coalition, le joueur de 31 ans a dit à ses partisans: «Notre tâche est de travailler avec tous les autres pour notre pays».
L’Autriche, un pays riche de 8,7 millions de personnes qui s’étend de la Slovaquie à la Suisse, était une porte d’entrée en Allemagne pour plus d’un million de personnes pendant la crise migratoire qui a débuté en 2015.
Beaucoup d’entre eux fuyaient la guerre et la pauvreté au Moyen-Orient et ailleurs.
L’Autriche a également accueilli environ un pour cent de sa population de demandeurs d’asile en 2015, l’une des plus fortes proportions sur le continent.
De nombreux électeurs disent que le pays a été envahi.
La stratégie de Kurz de se concentrer sur cette question semble avoir porté ses fruits.
Kurz, nommé chef du parti en mai dernier, a pris soin de garder ses options de coalition ouvertes, mais il a appelé à la fin de l’alliance actuelle avec les sociaux-démocrates, forçant les élections anticipées de dimanche.
Il s’est engagé à secouer la politique autrichienne, dominée pendant des décennies par des coalitions entre ces deux partis.
Bien que cela suggère qu’il se tournera vers le FPO anti-islam, il a également dit qu’il pourrait y avoir des changements de dirigeants au sein des partis perdants, un indice possible d’être prêt à travailler avec les sociaux-démocrates si le chancelier Christian Kern a été évincé en tant que leader par la Défense Ministre Hans Peter Doskozil.
Kern, cependant, a dit qu’il avait l’intention de rester à la tête du parti.
Interrogé pour savoir si la perte aurait un impact sur sa carrière politique, Kern a déclaré: « Non, j’ai dit que je resterais en politique pendant 10 ans et qu’il me reste neuf ans ».
Les sociaux-démocrates (SPO) ont également ouvert la porte à la formation de coalitions avec le FPO, ce qui signifie que le parti d’extrême droite pourrait jouer les deux partis pendant les pourparlers de coalition.
Mais il est peu probable que les sociaux-démocrates s’allient avec le FPO si le SPO venait en troisième position.
Une image claire de la course pour la deuxième place peut ne pas être disponible avant lundi, étant donné le grand nombre de votes postaux – environ un sur sept – dont la plupart ne seront pas comptés jusque-là.
Traduit par Dr.Mo7oG
Source ICI

En savoir plus sur http://lesmoutonsrebelles.com/le-plus-jeune-dirigeant-du-monde-elu-en-autriche-promet-de-detruire-le-nouvel-ordre-mondial/#bsOZpqeQErfDvgfC.99
World’s Youngest Leader Elected In Austria – Vows To Destroy ‘New World Order’
Austria's youngest elected leader vows to destroy European New World Order

The world’s youngest world leader, 31-year-old Sebastian Kurz, has vowed to destroy the New World Order and leave the European Union. 

The Austrian foreign minister and leader of Austria’s People’s Party, declared victory in the national election on Sunday after over 90 percent of the ballots had been counted.

Kurz, an anti-immigrant and eurosceptic Conservative, said: ‘I would of course like to form a stable government. If that cannot be done then there are other options,’ adding that he planned to consult with all parties but would first wait for a count of postal ballots that begins on Monday.

Kurz wants to slash Austria’s red tape and has repeatedly said during his campaign that the Austrian people are sick of ‘New World Order globalist policies by EU elites’ – which he says he will end when elected.

Dailymail.co.uk reports:  As well as his pledge on payouts to migrants, Kurz wants to slash Austria’s red tape and keep the EU out of national affairs.

At 31, Kurz is young even by the standards of Europe’s recent youth movement, which saw Macron enter the Elysee Palace at the age of 39 and Christian Lindner, 38, lead Germany’s liberal Free Democrats (FDP) back into the Bundestag.

Kurz and Lindner showed that young new faces can inject dynamism into old establishment parties that have lost their way with voters.

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Kurz rebranded the OVP as the New People’s Party and changed its colours from black to turquoise.

Lindner used trendy black-and-white campaign posters that showed him staring at his smartphone to revitalise the FDP’s image.

Macron, who formed his own political movement, was able to paint himself as a rebel outsider despite having served for four years under failed French Socialist Francois Hollande.

And in Italy, where the two top candidates in next year’s election are likely to be Luigi Di Maio, the new 31-year-old leader of the upstart 5-Star movement and former prime minister Matteo Renzi, who at 42 looks old by Europe’s new standards.

By taking a hard line on immigration that left little daylight between him and the far-right Freedom Party (FPO), 31-year-old Foreign Minister Kurz managed to propel his People’s Party to first place and draw some support away from an FPO buoyed by Europe’s migration crisis.

Both parties increased their share of the vote from the last parliamentary election in 2013, marking a sharp shift to the right. Chancellor Christian Kern’s Social Democrats were in a close race with the FPO for second place.

Today Kurz was pictured voting in the Austrian capital Vienna alongside his girlfriend Susanne Thier – a finance ministry worker who he met at the age of 18.

Without revealing which way he was leaning on coalition talks, the 31-year-old told his supporters: ‘It is our task to work with all others for our country.’

Austria, a wealthy country of 8.7 million people that stretches from Slovakia to Switzerland, was a gateway into Germany for more than 1 million people during the migration crisis that began in 2015.

Many of them were fleeing war and poverty in the Middle East and elsewhere.

Austria also took in roughly one percent of its population in asylum seekers in 2015, one of the highest proportions on the continent.

Many voters say the country was overrun.

Kurz’s strategy of focusing on that issue appears to have paid off.

Kurz, named party leader only in May, has been careful to keep his coalition options open, but he called an end to the current alliance with the Social Democrats, forcing Sunday’s snap election.

He has pledged to shake up Austrian politics, dominated for decades by coalitions between those two parties.

While that would suggest he will turn to the anti-Islam FPO, he has also said there could be leadership changes within the losing parties, a possible hint at being willing to work with the Social Democrats if Chancellor Christian Kern were ousted as leader by Defence Minister Hans Peter Doskozil.

Kern, however, said he intended to stay on as party leader.

Asked if the loss would have an impact on his political career, Kern said: ‘No, I have said I will stay in politics for 10 years and there are nine years to go.’

The Social Democrats (SPO) have also opened the door to forming coalitions with the FPO, meaning the far-right party may be able to play the two parties off against each other during coalition talks.

But it is highly unlikely that the Social Democrats would ally with the FPO if the SPO came third.

A clear picture of the race for second place may not be available until Monday, given the large number of postal votes – roughly one in seven – most of which will not be counted until then.

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