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Politique, survol de l'actu, réflexions, histoire, religions, islam vus par un super senior.

QUI SONT LES ROHINGAS ? DES MUSULMANS AU COMBAT !

A faire connaitre, même jusqu'au Vatican....tant l'info a été détournée...

Les Rohingyas qui tuent les bouddhistes depuis 1947 ressemblent étrangement à nombre de nos musulmans venus en Europe pour  faire la conquête du continent.

Statistique du Djihad:

 
Rapport du Jihad
18 novembre 2017 -
24 novembre 2017
attaques29
Tué556
Blessé395
Attentat suicide6
Des pays12

Le Pape est là-bas... Pourvu que son message ne soit pas habilement utilisé comme arme pour les conquérants d'allah
Bien soucieusement....

Philippe Boehler.

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oui, hélas, l'Islam tue, il assassine!!! ON DOIT LE DIRE sinon il vaincra à cause de nos faiblesses...

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suivez  svpl le site   www.resistancerepublicaine.eu

merci pour votre soutien à Christine Tasin , combattante infatigable, cette femme courageuse qui a osé dire
"L'ISLAM EST UNE SALOPERIE"

Philippe Boehler.

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"Les Rohingyas qui tuent les bouddhistes depuis 1947 ressemblent étrangement à nombre de nos musulmans


Les Rohingyas qui tuent les bouddhistes depuis 1947 ressemblent étrangement à nombre de nos musulmans

Illustration : les Rohingyas ont une démographie galopante…

Etrange comportement… des similarités frappantes entre l’attitude des Rohingyas et celle de pas mal de musulmans en France. Merci à Coco-Rico de nous avoir signalé le texte plus qu’intéressant traduit en fin d’article par Laveritétriomphera.

  • émigrés venus d’ailleurs
  • démographie galopante
  • minorité qui est devenue majoritaire grâce à cette démographie
  • Les Rohingyas se rebellent contre le gouvernement birman qui ne respecte pas les préceptes islamiques…
  • le gouvernement leur refuse donc la nationalité birmane
  • alors c’est la guerre, et les immigrés sont soutenus par des forces extérieures au pays, notamment Al-Qaïda et des mouvements séparatistes ; et la guerre dure des décennies
  • Le viol et le meurtre d’une femme bouddhiste amène des mesures de représailles contre les Rohingyas et une situation d’émeutes avec de nombreux morts des deux côtés. Les Rohingyas ont entrepris alors de décapiter des moines… Depuis 2012 des bandes de Rohingyas tuent.. Mais les bouddhistes ne se laissent pas faire, les musulmans ne sont pas habitués à cela, d’où leurs cris de révolte.
  • Les bouddhistes ne tuent pas les musulmans, mais ils éliminent les rebelles engagés dans un nettoyage ethnique dans l’État de Rakhine.
  • les Rohingyas interdisent à leurs femmes de se marier avec un bouddhiste, par contre les hommes ont pour mission de séduire les femmes birmanes et de les convertir à l’islam….
  • les bouddhistes sont non violents mais face à cette guerre ethnique ils n’ont pas le choix, ils doivent se défendre pour ne pas disparaître
  • les Rohingyas représentent à présent 4 pour cent de la population birmane, et avec 4 pour cent ils ont un pouvoir de nuisance incroyable… Chez nous ils sont vraisemblablement ( on sait pourquoi les statistiques dites ethniques sont interdites ) entre 25 et 30 pour cent. Pensez qu’une ville comme Chalon, qui ne fait pas partie des territoires perdus de la République, a dans ses écoles 50 pour cent d’enfants musulmans…
  • Deux différences fondamentales avec nous : les bouddhistes, qui pratiquent, eux, une religion profondément de paix et d’amour, sont prêts à prendre les armes pour défendre leurs valeurs, leur mode de vie, leurs femmes, et leurs gouvernants les soutiennent….

Ce ne sont pas les bouddhistes qui assassinent les musulmans au Myanmar, ce sont les musulmans Rohingyas qui tuent les bouddhistes depuis 1947

La violence en Birmanie, qui a durement endeuillé et les musulmans Rohingyas et les Bouddhistes birmans, est à la source d’une idée reçue particulièrement ancrée dans l’opinion publique. Par conséquent, il est nécessaire de rappeler un certain nombre de faits qui éclairciront les zones d’ombre, et éclaireront ceux qui ne se sont pas suffisamment informés sur cette question. 

Les Rohingyas sont une minorité musulmane qui a émigré du Bangladesh vers le Myanmar. La démographie galopante des Rohingyas, qui s’est produite dans un très court laps de temps, à laquelle s’ajoute une absence de considération pour le planning familial et les ressources limitées de la région, a réduit la communauté autochtone à être minoritaire sur sa Terre, et elle est maintenant privée de territoire lequel est occupé par les Rohingyas en pleine expansion.  

Les Rohingyas prétendent être originaires de l’État de Rakhine, alors que les historiens birmans affirment qu’ils ont émigré du Bengale vers la Birmanie, surtout durant la domination britannique dans le pays puis, dans une moindre mesure, après l’indépendance en 1948 et pendant la Guerre de Libération du Bangladesh en 1971.

En 1982, le gouvernement du général Ne Win a promulgué une loi sur la nationalité que les Rohingyas se sont vus refuser en accord avec la grande majorité des Birmans (96%). Cette décision a été prise suite, entre autre, à la rébellion des Rohingyas contre le gouvernement. Ce conflit, qui durait depuis plusieurs décennies, était soutenu par des forces extérieures au pays, principalement des mouvements séparatistes et des groupes extrémistes incluant Al-Qaïda.

La rébellion des Rohingyas dans le Myanmar occidental sévissait dans le nord de l’État de Rakhine (également dénommé Arakan). La plupart des affrontements se sont produits dans le district de Maungdaw en bordure du Bangladesh.

Les moudjahidines locaux ont mené l’insurrection contre les forces gouvernementales birmanes de 1947 à 1961 l‘objectif étant que la péninsule Mayu, située dans le nord de l’état de Rakhine essentiellement peuplée de Rohingyas, fasse sécession et soit annexée par le Pakistan oriental (aujourd’hui le Bangladesh). À la fin des années 1950, les moudjahidines ont perdu la plupart de leurs soutiens et ils se sont rendus aux forces gouvernementales.

Depuis 2001, dans le nord de l’état de Rakhine, les Rohingyas se sont à nouveau rebellés contre le gouvernement birman bien que Shwe Maung, alors député des Rohingyas majoritaires dans la région, ait rejeté les allégations affirmant que ces groupes d’insurgés islamistes étaient actifs le long de la frontière bangladaise.

L’incident le plus récent dont nous ayons connaissance date d’octobre 2016, quand des affrontements ont éclaté le long de la frontière entre le Myanmar et le Bangladesh, les insurgés Rohingyas s’étaient associés à des islamistes étrangers soupçonnés d’être à l’origine du conflit. 

Le fait est que les Rohingyas sont maintenant en Birmanie depuis plusieurs générations et ils représentent prés de 4% de la population.

Par ailleurs le viol brutal et le meurtre d’une femme bouddhiste de Rakhine par des musulmans, suivi du massacre de Rohingyas (en représailles), ont déclenché des émeutes entre locaux bouddhistes et Rohingyas musulmans. Ce n’était pas exactement un massacre unilatéral, mais une émeute avec des victimes de part et d’autres. 

La situation s’est envenimée après que des Rohingyas aient entrepris d’assassiner également des moines, souvent par décapitation. Au moins 19 meurtres de religieux ont été signalés en quelques mois quand ces derniers ont manifesté leur soutien à des groupes autochtones qui se battaient contre les Rohingyas.

Et maintenant, la question que tout le monde devrait se poser est celle-ci : pourquoi les musulmans tuent-ils les chrétiens ? Pourquoi les musulmans tuent-ils d’autres musulmans ? Et en nombre non négligeable partout dans le monde. À notre connaissance aucun bouddhiste n’a aujourd’hui ou dans le passé désiré tuer des musulmans, du moins pour des raisons religieuses. Mais au Myanmar, le prosélytisme est très peu toléré, chacun peut pratiquer sa foi tant qu’il s’abstient de vouloir convertir quiconque [NDT : les convertis au christianisme notamment, risquent l’exclusion, même si le bouddhisme enseigne la non-violence par essence]. Les chrétiens savent cela depuis longtemps, bien qu’ils continuent leur apostolat sans agressivité. Cependant les Hindous n’ont jamais eu de telles ambitions, de même que les bouddhistes mais les musulmans … bon passons … passons … passons. 

Cependant les Rohingyas sont très traditionalistes quant aux mariages inter-religieux, ils punissent et parfois tuent les femmes qui se marient avec un non-musulman. Alors que les hommes Rohingyas peuvent épouser des femmes bouddhistes et les convertir à l’islam. Ce que n’apprécient pas, pour des raisons évidentes, les traditionalistes issus de la majorité bouddhiste du pays. 

Les chrétiens et les hindous, 2ème et 4ème communauté religieuse par le nombre d’adeptes dans le pays, s’intègrent très bien malgré les différentes populations de confession chrétienne en lutte contre des ethnies bouddhistes tels que les Bamars (Kachins, Chins, Karens, etc.). Les conflits sont séculaires, territoriaux et leur origine est le partage des ressources, mais ils ne sont jamais d’ordre religieux. En outre, insulter une religion, peu importe laquelle et quel qu’en soit le motif, est illégal au Myanmar et conduirait le contrevenant tout droit en prison dans un délai de quelques heures. Ces mesures sont appliquées avec rigueur, et elles sont probablement justifiées.

Les historiens birmans affirment que les musulmans Rohingyas furent, dans un premier temps, bienvenus et traités en « invités » en Birmanie. Au début ils ne posèrent pas ou très peu de problèmes. Les problèmes tels que des « révoltes » contre le gouvernement eurent lieu plus tard, mais au début des années 60, un accord a été trouvé et les Rohingyas ont été désarmés. Bien que des conflits de moindre importance ont eu lieu entre les deux communautés, aucun évènement grave ne s’est produit avant 2012 environ, quand les musulmans se sont organisés en bandes et ont déambulé dans les rues pour tuer les autochtones minoritaires dans la région. C’est pour cette raison que les bouddhistes birmans ont riposté en contre-attaquant les musulmans qui tuaient leurs frères et sœurs dans les territoires où les Rohingyas sont majoritaires. 

Par conséquent, il est impératif de comprendre que les bouddhistes ne tuent pas les musulmans, mais ils éliminent les rebelles engagés dans un nettoyage ethnique dans l’État de Rakhine. Si les bouddhistes étaient les agresseurs, alors ils devraient également s’en prendre aux chrétiens. Ces derniers, qui sont la 2ème communauté religieuse du pays, devraient être au minimum discriminés, ce qui ne s’est jamais produit. 

Il est clair que nous n’avons pas affaire à une guerre de religions. C’est un conflit d’ordre politique où les autochtones essaient de se protéger d’une communauté d’immigrés qui en veulent à leur vie. Cette communauté inquiète par sa démographie galopante, elle essaie aussi de convertir les autochtones à sa foi de gré ou de force par des moyens directs et indirects. Les Rohingyas en rajoutent une couche quand ils incitent les hommes de leur communauté à épouser des femmes bouddhistes, mais qu’ils interdisent l’inverse. C’est une émeute à l’initiative des Rohingyas contre les bouddhistes, ces derniers répliquent et les musulmans ont un retour de bâton comme c’est bien évidemment le cas partout ailleurs dans le monde.

Ce sont les Rohingyas qui tuent des gens en criant Allah Akbar, mais pas un seul bouddhiste ne tue car cela est contraire à ses écritures. Mais pour les bouddhistes leur survie est devenue un enjeu qui les a conduit à se défendre. 

Les Bouddhistes en Birmanie ont vu les Rohingyas se dresser contre eux sans raison apparente pendant plus d’un demi-siècle, le seul motif des Rohingyas est la création d’une zone islamique autonome en Birmanie. Ils ont bénéficié d’un financement d’organisations extrémistes et du Moyen-Orient, ainsi que du soutien de pays voisins comme le Pakistan et le Bangladesh. C’est en dernier recours qu’ils ont opté pour la solution la plus évidente et la plus pragmatique.

Il est simplement question pour les bouddhistes, de savoir si ils veulent mourir des mains des séparatistes islamiques ou survivre en répliquant. 

Traduit de l’anglais par Lavéritétriomphera.

Courtesy: http://www.religionmind.com/

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